Le découpage systématique de l’espace pictural en trois zones scande et transpose le temps. Le chiffre trois précède l’action pensée, le travail de reconnaissance du langage pictural.
La figure, l’autre soi-même, se dérobe et se fragmente dans un monde clos, en perpétuelle transformation. La mise en place de l’idée, comme passage de poésie verticale, se produit alors, au cœur des plus hautes nécessités du présent qui semblent être en devenir formel. L’élongation maniériste pourrait être aussi la voie vers l’ascension des degrés de la spiritualité. Le regardeur est invité à saisir la fulgurance et l’illusion d’une humanité universelle, dans une quête permanente.